[Épreuves orales des concours]Algèbre
Calculer S + T et ST . En déduire S et T .
b) Soit P = a0 + a1X + + anXn R[X] avec a0 ≥ a1 ≥≥ an > 0. On pose Q = (1 - X)P. Soit z C tel que Q(z) = 0. Montrer que a0 = (ak-1 -ak)zk + anzn+1. En déduire que si P(z) = 0 alors |z|≥ 1.
c) Soit P = a0 + a1X + + anXn R[X] où les ai sont dans R+*. On pose r = min . Montrer que les racines de P sont de module ≥ r.
Ind. Considérer = P(rX).
a) Les sous-espaces P et D sont-ils supplémentaires dans E ?
b) Déterminer la matrice dans la base canonique du projecteur sur P parallèlement à D.
a) Montrer que Imf = Vect.
b) Montrer qu’il existe λ R tel que f2 = λf. Déterminer les valeurs propres de f en fonction de λ.
c) Soit H un sous-espace de E tel que E = H ⊕ Vect(a). Soit u (E) tel que : ∀x H, u(x) = x.
i) Montrer qu’il existe μ R tel que u(a) - μa H. En déduire que Im ⊂ H.
ii) Montrer que u2 - (μ + 1)u + μid = 0. Si μ = 1, l’endomorphisme u est-il diagonalisable ?
a) Montrer que Im(f) et Ker(g) sont supplémentaires dans E.
b) Justifier que f(Im(g)) = Im(f).
a) Montrer que u ne possède pas de valeur propre réelle.
b) Soit a E \ {0}. Montrer que (a,u(a)) est libre.
c) Soient a, b dans E avec b ⁄ Vect(a,u(a)). Montrer que est une base de E. Quelle est la matrice de u dans cette base ?
a) On suppose que u et v commutent. Montrer que Ker(u) et Im(u) sont stables par v.
a) Montrer que u laisse stable toutes les droites de E si et seulement si u est une homothétie.
a) Montrer que P = s’écrit comme le produit de deux matrices, la seconde étant diagonale par blocs.
b) En déduire det(P).
a) Montrer que μ est un endomorphisme de n().
b) Trouver Ker μ.
a) i) Calculer M2. La matrice M est-elle inversible ?
ii) Exprimer, pour n N*, Mn en fonction de M et M2.
b) Soit M 3 (R) telle que M3 + M = 0 et f l’endomorphisme canoniquement associé à M. On suppose que f est injectif.
i) Montrer que M est inversible et que M2 = -I3.
ii) Calculer det(M2) et montrer qu’on aboutit à une absurdité.
a) Montrer que C(f) est un -espace vectoriel
b) Soit (e1 , e2 ) la base canonique de 2. Soit x = x1e1 + x2e2 R2. Donner une condition nécessaire et suffisante pour que (e1 - x,e2 - x) soit une base de 2.
c) Généralisation. Soit (e1,…,en) la base canonique de n et soit x = x1e1 + + xnen dans n .
i) Donner une condition nécessaire et suffisante pour que (e1 - x,…,en - x) soit une base de n .
ii) Soit f l’endomorphisme de n tel que pour tout entier i [[1,n]], f(ei) = ei - x. Trouver les valeurs propres de f avec leurs multiplicités.
iii) Sous quelles conditions l’endomorphisme f est-il diagonalisable ?
iv) Déterminer la dimension du commutant de f.
a) Déterminer le polynôme caractéristique de A(a,b,c,d).
b) Soit x . La matrice A(x,-x2,x3,0) est-elle diagonalisable sur ? sur C ?
a) Calculer A2 , A3. En déduire une expression de An pour tout n N.
b) Calculer les valeurs propres de A. Est-elle diagonalisable ?
c) Montrer que les vecteurs propres de A sont aussi des vecteurs propres de B. La matrice B est-elle diagonalisable ?
d) Soient (x, y) 2 et M(x,y) = xA + yB. Montrer que M(x,y) est diagonalisable et donner l’expression de (M(x,y))n pour tout n N.
a) Montrer que D appartient à (E).
b) Quelle est la matrice de D dans la base (sin,cos,a,b) ?
c) Déterminer les valeurs propres de D et calculer D-1.
a) Déterminer les valeurs propres (complexes) de A. La matrice A est-elle diagonalisable ?
b) Calculer P(A). En déduire A-1.
c) Montrer que A est semblable à T = .
a) Montrer que P est inversible et trouver son inverse.
b) Montrer que B est diagonalisable si et seulement si A l’est.
a) Montrer que f est un endomorphisme de n().
b) Est-il diagonalisable ?
a) Déterminer les éléments propres de Φ. L’endomorphisme Φ est-il diagonalisable ?
b) Déterminer sa trace, son déterminant et son polynôme caractéristique.
a) Montrer que f est un endomorphisme de E.
b) On suppose que n = 3.
i) Donner la matrice de f dans la base canonique de E.
ii) Montrer que f est un projecteur ; déterminer Ker(f) et Im(f).
c) On suppose maintenant que n ≥ 4.
i) Montrer que dim(Ker(f)) ≤ 2, et en déduire que Ker(f) = V ect(X,1 + X2).
ii) Montrer que (f(1),f(X3),f(X4),…,f(Xn)) est une base de Im(f).
iv) Montrer que si Q Imf alors Qʹ(1) = Qʹ(-1) = 0.
En déduire que Im(f) = {Q E, Qʹ(1) = Qʹ(-1) = 0}.
v) Calculer les valeurs propres de f. Cet endomorphisme est-il diagonalisable ?
a) Justifier que f est un endomorphisme de Rn[X].
b) Soit k {0, … ,n}. Montrer qu’il existe un unique polynôme Pk unitaire de degré k tel que f(Pk ) = -2kPk .
a) On suppose A inversible. Montrer que χAB = χBA.
b) On suppose A non inversible. Montrer que A-In est inversible pour p N* assez grand. En déduire que χAB = χBA.
a) Soit H le sous-espace vectoriel de 3 d’équation x - y + z = 0. Déterminer le projeté orthogonal de X R3 sur l’orthogonal de H.
b) En déduire le projeté orthogonal de X sur H, puis la matrice dans la base canonique de la projection orthogonale sur H.
c) Déterminer la matrice dans la base canonique de la symétrie orthogonale par rapport à H.
a) Montrer l’existence de pour tous P,Q R[X]. Montrer que est un produit scalaire sur R [X].
b) Soit n N . Montrer l’existence et l’unicité d’un polynôme Tn tel que, pour tout θ R, Tn (cos θ) = cos (nθ).
c) Montrer que la famille (Tn)nN est une famille orthogonale.
d) Soit F = R 1 [X]. Calculer la distance de X2 à F .
a) Calculer ∥v1 ∥2, ∥v2∥2 et ⟨v1,v2⟩.
b) Soit y = y1 v1 + y2v2 dans 2. Calculer ∥y∥2 et ∥φ(y)∥2. Montrer que φ appartient à (2 ).
c) Soit P la matrice de passage de ε à v. Calculer P-1.
d) Exprimer la matrice Mʹ de φ dans la base canonique.
a) Montrer que ∀(x,y) E2, ⟨f(y),x⟩ = -⟨f(x),y⟩.
b) Comparer Ker(f) et l’orthogonal de Im(f).
a) Montrer que u est dans Imp et que r(u) - λu est dans (Imp)⊥.
b) Montrer que λ∥u∥2 = ∥r(u)∥2.
c) Montrer que λ est dans [0,1].
a) Montrer que M + I3 est inversible.
b) Soit K = (M - I3)(M + I3)-1. Montrer que K est une matrice orthogonale.
a) Calculer t (t XAX) et en déduire que tXAX = 0.
b) Montrer que si A possède une valeur propre réelle alors celle-ci est égale à 0. En déduire que N et M sont inversibles.
c) Montrer que M et N commutent, que M et N-1 commutent. On pose W = MN-1. Montrer que W est une matrice orthogonale et que - 1 n’est pas valeur propre de W .
d) Soit U n () dont - 1 n’est pas valeur propre. Montrer qu’il existe une unique matrice antisymétrique A n() telle que U = (In - A)(In + A)-1.
b) Trouver M 2(C) telle que 2 = 0 et (M + tM)≠0.
a) Soit Aθ = . Calculer ∥Aθ ∥ et ρ(Aθ).
b) Soient A n(C), λ C une valeur propre de A et X = t(x1,…,xn) un vecteur propre associé. Montrer que |λ||xi|≤|ai,j||xj| pour tout i. En déduire que ρ(A) ≤∥A∥.
c) Soient A n(C) et k N*. Montrer que ρ(Ak) = ρ(A)k.
d) Soient A et B dans n(C). Montrer que ∥AB∥≤∥A∥×∥B∥.
e) Soit A n (C) diagonalisable. Montrer que Ak → 0 si et seulement si ρ(A) < 1.
a) Montrer que, pour n N*, il existe un unique xn vérifiant gn(xn) = 1.
b) Trouver un équivalent de xn.
a) Soient α R et, pour n N*, vn = nα. Montrer que (vn) vérifie (*) si et seulement si α ≤ 1. Déterminer dans ce cas la limite de la suite de terme général vn⁄n.
b) Soit (wn ) une suite réelle telle que : ∀(n,m) (N*)2, wn+m = wn + wm. Montrer qu’une telle suite est arithmétique. Déterminer la limite de la suite de terme général wn ⁄n.
c) Soit (un ) une suite vérifiant (*). On suppose que la suite de terme général un⁄n est minorée et on pose : α = inf . Montrer que (u n⁄n) a pour limite α.
Ind. On pourra fixer ϵ > 0 et considérer q N* tel que α ≤ uq⁄q ≤ α + ϵ.
a) Pour (a, b) 2, montrer que 2|ab|≤ a2 + b2.
b) Montrer que E est un sous-espace vectoriel de l’espace des suites numériques réelles.
c) Montrer que f : (xn) Nx0 est une application linéaire.
d) Soit ϕ: ((xn ),(yn)) E2xnyn . Montrer que ϕ est un produit scalaire sur E. En déduire que est l’expression d’une norme sur E.
On munit E de cette norme notée N.
e) Montrer que, pour (xn) dans E, la suite (xn + xn+1) est aussi dans E.
f) Soit g: (xn ) E(xn + xn+1) E. Montrer que g est lipschitzienne pour la norme N.
a) On pose Tn = φ(k). Montrer que = Tk - + .
b) Conclure quant à la convergence de .
a) Montrer que (bn) est de signe fixe à partir d’un certain rang.
b) Montrer que les séries de termes généraux an et bn sont de même nature.
a) Montrer que un = O(vn).
b) Soit (α, β) (+)2, α ⁄= β. Soit wn = . On suppose que = 1 - + o.
i) Trouver un équivalent de -.
ii) Montrer que la série de terme général un converge lorsque β > 1, et diverge lorsque β < 1.
b) Pour tout n N, on pose un = sin(π(2 + )n). Montrer que, pour tout n N, (2 + )n + (2 -)n est un entier pair. Montrer que un = -sin(π(2 -)n) et en déduire que la série de terme général un converge.
c) Soit P = X3 + a1X2 + a2X + a3 C[X]. On note x1,x2,x3 les racines complexes de P (éventuellement répétées avec leur ordre de multiplicité). On suppose que |x1| > 1, |x2| < 1 et |x3 | < 1. On pose σ1 = x1 + x2 + x3, σ2 = x1x2 + x2x3 + x3x1, σ3 = x1x2x3 et, pour n N, Sn = x + x + x.
i) Exprimer a1 ,a2,a3 à l’aide de σ1,σ2,σ3.
ii) Calculer σ1 σ2 - 3σ3.
iii) Exprimer S1,S2,S3 en fonction de σ1,σ2,σ3.
iv) Montrer que, pour p N, Sp+3 - σ1Sp+2 + σ2Sp+1 - σ1Sp = 0.
a) tudier la monotonie de (un).
b) La suite (un ) est-elle convergente ?
c) tudier la convergence de (vn+1 - vn) avec vn = ln(n-1⁄kun).
d) tudier la convergence de (vn).
e) En déduire un équivalent simple de (un).
f) tudier la convergence des séries de termes généraux un, et (-1)nu n.
g) Montrer que la suite de terme général wn = vérifie les conditions de l’introduction.
a) Montrer que ϕ réalise une bijection de ]0,1] sur [0,+∞[. On note u la réciproque de ϕ.
b) Montrer que u est dérivable.
c) Montrer que, pour x R+*, u(x)3 + xu(x) - 1 = 0. En déduire que : |uʹ(x)|≤.
a) Étudier la convergence de la suite (fn). Préciser la limite.
b) Pour quelles valeurs de α a-t-on convergence uniforme sur R+ ?
c) Calculer lim n→+∞xd x.
b) Soit (an ) une suite telle que la série de terme général an converge. Que dire du rayon de convergence de la série entière de terme général anzn ?
c) Calculer le rayon de convergence de la série entière (-1)n lnzn.
a) Déterminer le rayon de convergence de S.
b) Montrer, pour |x| < 1 : S(x) = 9(n + 1)(n + 2)xn - 21(n + 1)xn + 4xn.
c) En déduire les solutions de S(x) = 0.
a) Montrer que 1 ≤ an ≤ n2 pour tout n N*.
b) Déterminer le rayon de convergence R de la série entière anxn.
c) Soit f : x ] - R,R[anxn.
i) Montrer que f est solution de l’équation différentielle (1 - x)yʹ- (1 + 2x)y = 0.
ii) Donner une expression de f à l’aide de fonctions usuelles.
a) Justifier la définition de In. Montrer que, pour n N, 0 ≤ In ≤ (ln2)n.
b) Montrer que, pour n N, In+1 = 2(ln2)n+1 - (n + 1)In.
c) Montrer que la série de terme général n converge. Calculer .
d) Déterminer le rayon de convergence et la somme de xxn.
e) Montrer que In.
a) Montrer que (un) est décroissante et que (un) converge.
b) Soit vn = .
i) Montrer que - = - + o.
ii) Montrer qu’il existe un entier N tel que, pour tout n ≥ N, on a ≤. En déduire qu’il existe un K R tel que, pour tout n N, un ≤ Kvn.
iii) Montrer que la série de terme général un converge.
c) En remarquant que 2(k + 1)uk+1 + 2uk+1 = 2kuk + uk, déterminer la valeur de la somme de la série des uk .
d) Soit f : x unxn.
i) Montrer que le rayon de convergence R de cette série entière est > 0.
ii) Montrer que f vérifie l’équation (E): 2x(x - 1)fʹ(x) + (x - 2)f(x) = -2.
iii) Résoudre l’équation différentielle (E) pour x ] - R,R[.
Ind. On a : ∀x \{0,1}, = -.
a) Montrer que F est définie sur ] - 1,1[.
b) Pour N N* et (x,t) ] - 1,1[×[0,π⁄2], montrer :
= (xcos2(t))n + .
c) Montrer que ∀x ] - 1,1[, F(x) = Wnxn, où Wn est une intégrale à déterminer.
d) Montrer que, pour x ] - 1,1[, F(x) = .
e) En déduire la valeur de Wn.
a) La fonction fn est-elle intégrable sur + ?
b) Calculer lim n→+∞fn(t)d t.
a) Donner le développement en série entière de tln(1 + t) au voisinage de zéro.
b) Montrer que un = .
c) Montrer que f : x est de classe 1.
d) Exprimer un en fonction de f et en déduire que un.
e) Montrer que l’on a, lorsque n → +∞ : un = + + o où α s’écrit comme la somme d’une série.
f) Chercher a, b, c,d tels que = a + + + + o.
a) Montrer que, pour x R+*, Arctan(x) + Arctan(1⁄x) = π⁄2.
b) Montrer que f est définie sur R et de classe 1. Déterminer son sens de variations.
c) Montrer que, pour x R+*, f(x) + f(1⁄x) = π2⁄4. En déduire la limite de f en + ∞.
a) Montrer que f est définie sur R+*.
b) Soit t ]0, 1[. Exprimer comme somme d’une série.
c) On rappelle que = -. Calculer f(1).
d) Montrer que, pour x R+*, f(x) = ln(x) × ln + d u.
e) Donner une expression de fʹ(x) ne faisant pas intervenir d’intégrale.
f) Soit g : x R +*f(x) + f(1⁄x). Montrer que g est de classe 1. Montrer que gʹ(x) = - pour x R +* .
a) Montrer que f est définie sur , puis que f est de classe 1.
b) Montrer que f vérifie une équation différentielle. Résoudre cette équation différentielle et en déduire une expression de f.
b) Montrer que F est positive et décroissante.
c) Montrer que F est de classe 1 sur R+*. Calculer F -Fʹ ;endéduirequeF est de classe ∞ sur R +* .
d) Montrer : ∀x R+*, F(x) = ex d t. Calculer la limite de F(x) quand x tend vers 0+ .
e) Donner un équivalent de F(x) quand x tend vers 0+.
a) Si f est 2-convexe, montrer que exp(f) l’est aussi.
b) Soit Γ : x tx-1e-t d t.
i) Montrer que Γ est définie sur ]0,+∞[ et que H est strictement positive.
ii) Montrer que H est de classe 2 et 2-convexe.
iii) On admet que, pour tout x > 0, Γ(x + 1) = xΓ(x). Montrer qu’il existe c ]1,2[ tel que Γʹ(c) = 0. tudier les variations de Γ et ses limites en 0 et + ∞.
b) Montrer que f est solution d’une équation différentielle que l’on précisera.
a) Si x R , montrer que cos(xt)e-t d t existe.
b) Montrer que cos(xt)e-t d t = avec K indépendant de x.
c) Montrer que ≤ 1 pour u R* et en déduire l’existence de f.
d) Montrer que f est de classe 1. Déterminer fʹ puis f.
e) Soit L : x R +e-ux d u. Montrer l’existence de L. En supposant que L est continue en 0, calculer L(0).
a) Montrer que f est définie et continue sur .
b) Montrer que pour tout t dans +*, 0 ≤ f(t) - 1 ≤ exp(-nt2), et en déduire que lim+∞f = 1.
c) Montrer que f est de classe 1 sur . tudier les variations de f.
d) Montrer que ≤.
a) Déterminer le domaine de définition de f. Montrer que la série de fonctions ne converge pas normalement sur +*.
b) Montrer que f est continue sur +*.
c) Montrer que f - 1 est intégrable sur +*. Exprimer (f - 1) en fonction de .
d) On admet que, pour x > 0, on a : exp(-xt2)d t ≤ f(x) ≤ 1 + exp(-xt2)d t. Déterminer un équivalent de f en 0+.
e) Démontrer l’encadrement admis à la question précédente.
a) Montrer que f est définie et continue sur D.
b) Montrer que f est développable en série entière au voisinage de 0 et déterminer ce développement.
a) Donner les solutions de l’équation homogène.
b) Donner les solutions de (E).
a) Donner une condition sur α pour que y: xexp(αx) soit solution de (E).
On choisit désormais un tel α.
b) Donner une condition sur z pour que y: xz(x)exp(αx) soit solution de (E).
c) En déduire les solutions de (E).
a) Trouver α tel que la fonction hα: x +*xα soit solution de (E).
b) Soit G: x +* d t. Donner le tableau de variations de G. Quelle est sa limite en zéro ?
c) Soit f : R +* → R deux fois dérivable. Montrer que s: x +*xf(x) est solution de (E) si et seulement si fʹ est solution d’une équation différentielle linéaire d’ordre 1 notée (Eʹ) que l’on déterminera. Résoudre (Eʹ) sur +*.
d) Décrire l’ensemble des solutions de (E) à l’aide de G. Déterminer le comportement des solutions lorsque x → 0+.
a) Soit g 1 (, ). On pose ∀(x,y) +*× , f(x,y) = g(y⁄x). Montrer que f E.
b) Soient f E et v . On pose ∀t +*, ϕ(t) = f(t,vt). Montrer que ϕ est de classe 1 et que ϕʹ est la fonction nulle.
c) Soit f une fonction de +*× dans . Déduire des questions précédentes l’équivalence suivante : f E⇐⇒∃g 1(),∀(x,y) +*× , f(x,y) = g(y⁄x).
a) Montrer que, pour tout n N, il existe un unique p N tel que S(p) ≤ n < S(p + 1).
b) Soient A et B deux ensembles dénombrables, (xi)iN et (yj)jN deux énumérations de A et B respectivement. Montrer que l’application ψ: (xi,yj) + i est une bijection de A × B sur N.
c) Que peut-on en conclure ?
a) Exprimer P(Ai) pour tout i.
b) On considère un évènement B tel que, pour tout i {1,…,n}, P(B|Ai) = . Exprimer P(B).
a) Donner la fonction génératrice de X.
b) Donner la fonction génératrice de X + Y , puis sa loi.
On pose N = inf {n N*, Xn = 1} si cet ensemble est non vide, N = +∞ sinon.
a) Calculer P(N = +∞).
b) Donner la loi de N.
[Épreuves orales des concours]