[Épreuves orales des concours]Algèbre
a) On suppose que, pour tout x R, P(x) + Pʹ(x) ≥ 0. Montrer que P(x) ≥ 0 pour tout
x
R .
b) On suppose maintenant que, pour tout x R, P(x) -Pʹʹ(x) ≥ 0. Montrer que P(x) ≥ 0 pour
tout x
R .
c) On suppose ici que, pour tout x R, P(x) - Pʹ(x) - Pʹʹ(x) + Pʹʹʹ(x) ≥ 0. Peut-on dire que
P(x) ≥ 0 pour tout x
R ?

b) Soient = (a1,…,an) et
= (b1,…,bn) deux familles de vecteurs de Rn. Montrer que, si
ou
est libre alors la famille
= (a1 + tb1,
,an + tbn) est libre pour tout réel t, sauf un nombre
fini de valeurs de t.




a) Montrer que, pour tous a,b R, M(a)M(b) = M(a + b - 3ab).
b) quelle(s) condition(s) la matrice M(a) est-elle inversible ?
c) Trouver une suite (un) telle que M(a)n = M(un) pour tout n N.



a) Montrer que P ⊕ D = R3.
b) Soit u un vecteur de R3 de coordonnées (x,y,z) dans . Calculer p(u) et déterminer la matrice
de p dans
.


a) Montrer que A est diagonalisable.
b) Calculer An .
c) Soient u0 = v0 = w0 = 1 et ∀n N,
Pour n N, calculer un, vn, wn.

a) Diagonaliser A (donner P GL3(R) et D diagonale telles que A = PDP-1).
b) Soit (α, β) R2. La matrice αA + βIn est-elle diagonalisable ?


a) Montrer que u est un endomorphisme de E.
b) Montrer que 1 est une valeur propre de u et déterminer l’espace propre associé.
c) Déterminer une condition nécessaire et suffisante pour que u soit diagonalisable. Déterminer son spectre et ses vecteurs propres.

a) Montrer que d est un endomorphisme de E.
b) Trouver le noyau et l’image de d.
c) L’endomorphisme d est-il diagonalisable ?


a) Monter que u est un endomorphisme de n[X].
b) Trouver la seule valeur propre possible λ de u.
c) L’endomorphisme u est-il diagonalisable ? inversible ?
d) Calculer le sous-espace propre de λ.

a) Montrer que g est un endomorphisme de Rn[X].
b) Montrer que g est diagonalisable.
c) L’application g est-elle inversible ?



a) Montrer que E = Ker(f2) ⊕ Ker(f - 2IdE).
b) Donner un élément de Ker(f2) \ Ker(f).
c) Montrer qu’il existe une base ʹ de E telle que Mat
ʹ(f) =
.
d) Soit g
(E) tel que g2 = f. Montrer que Ker(f2) est stable par g. Qu’en déduire ?

a) Quelles sont les valeurs propres de M ? Montrer que M est semblable à une matrice triangulaire supérieure à diagonale nulle.
b) On suppose M de rang 1. Montrer qu’elle est semblable à .



a) Trouver les valeurs propres de f. Cet endomorphisme est-il diagonalisable ?
b) Soit (a, b) R2. Trouver les valeurs propres de g = af + bid.
c) quelles conditions sur (a,b) l’endomorphisme g est-il bijectif ?


a) Montrer qu’il existe C 3,1(C) tel que M = CCT.
b) Déterminer le rang de M.
c) Montrer que M est semblable à une matrice de la forme N =
avec (a, b, c)≠ (0, 0,0). Expliciter a en fonction de x, y et z.
d) En déduire une condition nécessaire et suffisante pour que M soit diagonalisable.



a) Diagonaliser K.
b) Exprimer M à l’aide des puissances de K.
c) Montrer que M est diagonalisable.


a) Calculer le rang de C, le noyau de C et l’image de C. Qu’en déduit-on sur les valeurs propres ?
b) Calculer C2 . Montrer que si a est valeur propre de C alors a2 est valeur propre de C2 .
c) En déduire les valeurs propres de C.



a) Montrer que A est diagonalisable.
b) Que peut-on dire sur les valeurs propres de A ?
c) Donner une matrice diagonale semblable à A.
d) Déterminer l’ensemble des polynômes annulateurs de A.





a) Montrer que f est un endomorphisme de 2(R).
b) Déterminer les éléments propres de f.
c) L’endomorphisme f est-il diagonalisable ? est-il inversible ?



a) Montrer que ϕ est un endomorphisme de n(C).
b) Trouver le noyau et le rang de ϕ.
c) Trouver un polynôme annulateur de ϕ de degré 2.
d) L’endomorphisme ϕ est-il diagonalisable ?
e) L’endomorphisme ϕ est-il inversible ? Si oui, trouver son inverse.

a) Montrer que l’endomorphisme f est bijectif.
b) Est-il diagonalisable ?
c) Soient g un endomorphisme nilpotent d’un espace vectoriel E et p un entier tel que gp = 0.
Montrer que id E - g est bijectif et que (idE - g)-1 = idE + g + + gp-1.

a) Montrer que P admet une unique racine sur R+*. Ind. Considérer P(X)⁄Xn.
b) Soit M
n(R) définie par : Mi,1 = i pour 1 ≤ i ≤ n, Mi,i+1 = 1 pour 1 ≤ i < n, et tous
les autres coefficients nuls. Montrer que M admet une unique valeur propre strictement
positive.



a) Montrer que φ est un endomorphisme de (E)
b) Calculer φ3 et en déduire un polynôme annulateur de φ.
c) L’endomorphisme φ est-il diagonalisable ?



a) Montrer que U est un endomorphisme de Rn[X].
b) Cet endomorphisme est-il diagonalisable ? inversible ? Si oui, déterminer son inverse.




a) On suppose que M est symétrique. Montrer que M est diagonalisable puis prouver que tr (M) det (M)≠0.
b) Montrer que M est diagonalisable même si elle n’est pas symétrique.
c) Montrer que M est inversible si et seulement si 1 n’est pas valeur propre de M.

b) Montrer qu’on peut choisir ces deux matrices inversibles.
c) Montrer que toute matrice de n(C) peut se décomposer comme somme de deux matrices
diagonalisables.
d) Montrer que toute matrice triangulaire n(C) est limite d’une suite de matrices
inversibles.


b) Soit A
n (R) une matrice possédant n valeurs propres positives distinctes. Donner le
polynôme caractéristique de B =
.
La matrice B est-elle diagonalisable ?
c) Soient En = diag(1,2,...,n) et Kn = .
Calculer det (Kn ).


a) La matrice A est-elle inversible ? Si oui, donner A-1.
b) Est-elle diagonalisable ?

i) Montrer qu’il existe α C et X,Y
Cn non nuls, tels que tAX = αX et BY = αY . En
déduire qu’il existe M
n(C) non nulle telle que MA = BM.
ii) Trouver M pour A = et B =
.
b) On s’intéresse maintenant à la réciproque. Soient A,B,M dans n(C) telles que
MA = BM.
i) Montrer que si M est inversible alors A et B ont une valeur propre commune.
ii) Montrer que pour tout P C[X], on a MP(A) = P(B)M.
iii) On suppose M≠0. Montrer que A et B ont au moins une valeur propre commune.



a) Soient k N et P
C[X]. Déterminer les blocs diagonaux de Mk et P(M).
b) On suppose que Sp(A) = {λ} et Sp(B) = {μ}, avec λ≠μ. Donner une condition nécessaire et suffisante pour que M soit diagonalisable.
c) Même question dans le cas où λ = μ.


a) Montrer que ϕ est un produit scalaire.
b) Trouver une base orthonormale de R3[X] pour ce produit scalaire.


a) Montrer que c’est un produit scalaire.
b) Montrer que l’ensemble E = {P Rn[X],P(1) = 0} est un sous-espace vectoriel de Rn[X] et
donner sa dimension.
c) Calculer d(1, E).

a) Montrer que l’on définit ainsi un produit scalaire sur R[X].
b) Déterminer min(a,b)R2
(t2 - at - b)2e-t d t.

a) Montrer que φ est un produit scalaire sur n(R).
b) Soit H l’ensemble des matrices de n(R) dont la somme des coefficients est nulle. Soit A une
matrice de
n (R). Calculer la distance d(A,H).



a) Montrer que est libre si et seulement si
est libre.
b) Montrer que dimV ect() = ⌈⟩⇕
⌉⌋⊔(
).






a) Que dire de la famille ʹ = (f(e1),...,f(en)) ?
b) En calculant de deux façons, montrer qu’il existe a > 0 tel que
∥f(ei ) ∥2 = a2 pour tout i. Que dire de la famille
ʹ ?







a) Montrer que la famille (ch,sh) est une base de V .
b) Soient f V et g
E. Montrer que
= fʹ(1)g(1) - fʹ(0)g(0).
c) Soient f V et g
W . Montrer que
= 0.
d) Soit f E tel que f(0) = 0, f(1) = ch1. Calculer
,
, ∥ch∥2 et ∥sh∥2. En
déduire le projeté orthogonal de f sur V .



a) Montrer que B n’est pas inversible.
b) Montrer que B est diagonalisable.
c) Montrer que 0 Sp(B) et que Sp(B) ⊂ R+.
d) La matrice A est-elle orthogonale ?
e) Montrer que A et B commutent.
f) Montrer que si λ SpC(A) alors - λ
SpC(A).





a) Montrer que M est diagonalisable dans 4(R).
b) On prend ici B = 0. Trouver une base de vecteurs propres de M exprimée à partir des vecteurs propres de A et de C.
c) On suppose que G 2(R) et E
GL2(R). Montrer que rg(EG) = rg(GE) = rg(G).
d) On suppose A inversible et on note P =
. Calculer MP.
e) En déduire le rang de M.

a) Montrer que f est un endomorphisme et que, pour tous x,y R3,
= -
.
b) Trouver un polynôme annulateur de f. Cet endomorphisme est-il diagonalisable ?
c) Montrer que l’endomorphisme (f - Id3) • (f + Id
3)-1 est bien défini et déterminer ses
propriétés géométriques.





a) Montrer que : ∀X n,1(R) \{0}, tXAX > 0
b) Justifier que m ≤ n. Que peut-on dire de l’application linéaire u canoniquement associée à B ?
c) Montrer que la matrice par blocs C = est inversible.
d) Calculer C-1 lorsque m = n.
a) Montrer que f • s • f-1 est une symétrie orthogonale. Préciser ses caractéristiques.
b) Montrer que f commute avec s si et seulement si u est un vecteur propre de f.
c) En déduire l’ensemble des endomorphismes orthogonaux commutant avec tous les éléments de
(E).




a) Montrer qu’à partir d’un certain rang, Tp a n valeurs propres distinctes.
b) En déduire que toute matrice de n(C) est limite d’une suite de matrices diagonalisables.





a) Montrer que un diverge vers + ∞.
b) Montrer que ≤
, en déduire que 2 ≤ u
- u
≤ 2 + un+1 - un.
c) Montrer que un ∽ .













a) Déterminer la limite de (un) et de (nun).
b) Nature des séries de termes généraux un et (-1)nun ?


a) Montrer ces conditions définissent une unique suite (un).
b) Montrer que (un) converge et trouver sa limite.
c) Montrer que la série de terme général un converge.
d) l’aide de la série de terme général ln(2n+1un+1) - ln(2nun), montrer qu’il existe une
constante c > 0 telle que un ~.




b) Soit f
1 (R +, R+*). On suppose qu’il existe a > 0 tel que fʹ(x)⁄f(x) ∽ -a⁄x quand x tend
vers + ∞. Discuter selon a de la nature de la série de terme général f(n).


a) Établir la convergence de cette suite et déterminer sa limite.
b) En considérant un+1 - un montrer que u
converge.
c) En considérant ln montrer que
u
diverge.





∀x R +,
≤ arctanx ≤ x.



a) Montrer que f définit une bijection de ] - 1,+∞[ sur un intervalle à préciser. Prouver que la
réciproque g de f est de classe ∞.
b) Calculer g(0) et gʹ(0). Calculer le développement limité de g à l’ordre 3 en 0.



∀x [a, b], f(a + b - x) = f(x). Montrer que
tf(t)d t =
f(t)d t. Calculer
dt.




a) Trouver trois réels a, b et c tels que : ∀x R+*,
=
+
+
.
b) L’intégrale I converge-t-elle ?
c) Calculer I.






b) Convergence de l’intégrale d t.
c) Montrer : d t = 2
d t.



a) Montrer que l’on peut écrire f(n)(x) = f(x)Pn(x) où Pn est un polynôme. Préciser le degré et le coefficient dominant de Pn.
b) Existence puis calcul de f(x)Pn(x)Pm(x)d x.




![]](/numeros/RMS127-4/RMS127-4840x.png)



tudier la convergence simple de (un) sur R. Y a-t-il convergence uniforme sur [0,+∞[ ? sur [a, +∞[ pour a > 0 ?

![({ [0,1] -→ R
( t)n
( t ↦→ 1 - -- et
n](/numeros/RMS127-4/RMS127-4843x.png)
a) Montrer que : ∀n N*, ∀t
[0,1], |Gʹn(t)|≤
.
b) En déduire que : ∀n N*, ∀t
[0,1],
≤
.
c) On définit , pour n N* et x
[0,1], In(x) =
n et d t. Montrer que la suite de
fonctions (In ) converge simplement sur [0,1].
d) Converge-t-elle uniformément sur [0,1] ?








a) Montrer que S est de classe C1 sur [0,1].
b) Calculer Sʹ(1).



a) Étudier la convergence simple et la convergence uniforme de la série de fonctions
un.
b) Calculer la somme S de cette série de fonctions.
c) Calculer pour p N,
S(x)cos(px)d x et
S(x)sin(px)d x








a) Quel est le rayon de convergence de la série entière de terme général (anxn)n ?
b) Exprimer la somme de cette série entière sur son intervalle de définition à l’aide des fonctions usuelles.

a) Quel est le rayon de convergence de la série entière g(x) = bnxn ?
b) Montrer qu’il existe une suite (γn) tendant vers 0 telle que an = bn(1 + γn) pour tout
n N .
c) Soit p N . Justifier l’existence de vp = supn≥p|γn|.
d) Établir l’inégalité : ∀x > 0, - 1
≤
bn|γn|xn + vp+1.
e) Montrer que f(x) ~ g(x) lorsque x → +∞.
f) Application. Trouver un équivalent au voisinage de + ∞ de 1 +
n+1
.

b) En déduire celui de .
c) l’aide d’un produit de Cauchy, montrer que =
.


a) Montrer que la suite (an) est convergente, et déterminer sa limite.
b) Montrer que la série de terme général (-1)nan est convergente.
c) Montrer que : ∀n N, an ≥ 1⁄(2n + 1). En déduire le rayon de convergence R de
anxn.
d) Soit f : x
anxn. Montrer que f vérifie sur ] -R,R[ une équation différentielle que l’on
explicitera. Ind. Chercher une relation de récurrence entre les an.



a) Montrer que f est définie et de classe C∞ sur R.
b) Montrer que, pour tout k N*, |fk(x)|≤
.
c) Montrer que f est développable en série entière sur R.








a) Montrer que limn→+∞In = 0.
b) Calculer I0 , I1, In + In+1.
c) Montrer que : ∀n N*, (-1)n In = ln2 +
.
d) Montrer que la série de terme général n≥1 converge et calculer sa somme.



a) Justifier l’existence de Ip.
b) Calculer I0 .
c) Trouver une relation entre Ip et Ip+1.
d) Calculer Ip .


a) Pour quelles valeurs de α cette suite est-elle définie ? convergente ?
b) Pour quelles valeurs de α la série de terme général In(α) est-elle convergente ? Calculer alors la somme de la série.




(-1)n e-n2t2
d t.





a) Montrez que f est définie et continue sur R+.
b) Calculez f(0). Ind. On pourra poser u = 1⁄t.
c) Déterminer la limite de f(x) quand x tend vers + ∞.





a) Montrer que I est bien définie.
b) Montrer que F est définie sur [0,+∞[, que F est continue sur [0,+∞[ et que F est dérivable sur ]0, +∞[.
c) En déduire la valeur de I.




a) Montrer que f est définie et continue sur R.
b) Montrer que f est de classe 1 sur R et calculer fʹ.
c) On admet que e-x2
d x =
. Exprimer f à l’aide des fonctions usuelles.

a) Montrer que I est définie sur R+*.
b) Montrer que I est une fonction croissante.
c) Calculer , pour tout a > 0, ta ln(t)d t
d) En déduire une expression de I comme somme de série.



a) Quel est le domaine de définition de f ? Calculer f(0).
b) Étudier la continuité de f.
c) Montrer que f est de classe 2 sur R+* et trouver une équation différentielle vérifiée par
f.
d) Quelle est la limite de f en + ∞ ?






a) Montrer que G est de classe 2 et calculer Gʹʹ.
b) En déduire l’existence d’une fonction f telle que fʹʹ = g et f(0) = f(1) = 0. Y a-t-il unicité d’une telle fonction f ?


a) Montrer que la série de terme général un converge.
b) Montrer que un =
d x.


a) Justifier l’existence de I.
b) Montrer que I = 2.








a) Montrer que la suite (fn) converge simplement.
b) Montrer que la suite (an) définie par an = fn converge.
c) Montrer que la série (-1)nan converge et calculer sa somme.
a) Montrer que si y1 et y2 sont solutions de (E) alors yʹ1y2 - yʹ2y1 est constante sur R.
b) Montrer que si y est une solution de (E) bornée sur R alors yʹ(x) admet une limite finie quand x tend vers + ∞, puis montrer que cette limite est forcément nulle.
c) Montrer que (E) admet nécessairement une solution non bornée.


a) Exprimer à l’aide d’une intégrale les solutions de E sur R+*.
b) Montrer qu’il existe une unique solution bornée au voisinage de 0+.
a) Déterminer les fonctions développables en série entière solutions de (*). Pourquoi y a-t-il d’autres solutions ?
b) Déterminer toutes les solutions de (*) sur R. On fera le changement de variable y(x) = z(x)⁄(1 - x) et on soignera les raccords.

a) Justifier sans calcul que A est diagonalisable.
b) Déterminer les valeurs propres et une base de vecteurs propres de A.
c) Résoudre le système différentiel .









a) Montrer qu’il existe une base orthonormale (e1,e2,...,en) telle que f soit représenté dans cette base par une matrice diagonale.
b) Montrer que, pour tout x E \{0}, ⟨f(x),x⟩ > 0.
c) On suppose dorénavant que E = Rn, muni du produit scalaire canonique. Soit v Rn. Pour tout
x
R n , on note g(x) =
⟨f(x),x⟩-⟨v,x⟩. Montrer que g est de classe
1 et que pour x,h
E,
on a dgx (h) = limt→0
.
d) En déduire la valeur de la différentielle de g en x appliquée aux ei et la valeur du gradient de g.
e) Montrer que g n’admet qu’un seul point critique c que l’on précisera.
f) Montrer que g atteint au point c un minimum global. Y a-t-il d’autres extrema ?
a) Soient n, p N. Montrer que la probabilité qu’aucun des événements An,...,An+p ne se réalise
est inférieure ou égale à exp
-
P(Ak)
.
b) On suppose que la série de terme général P(An) est divergente. Montrer qu’il est presque impossible qu’il n’y ait qu’un nombre fini d’entiers n pour lesquels An est réalisé.




a) Quelle est la probabilité de gagner une partie ?
b) Déterminer la loi et l’espérance de la variable aléatoire G égale au gain algébrique du joueur.
a) Justifier que Xn est bien une variable aléatoire discrète et donner sa loi.
b) Justifier l’existence de l’espérance de Xn et la calculer.
c) On note Y n le rang du premier tirage à l’issue duquel toutes les boules ont été tirées au moins une fois. Donner la loi de Y 2 puis celle de Y 3.



a) Déterminer la loi de (X,Y ). En déduire les lois de X et de Y .
b) Calculer E(Y ), E(Y (Y - 2)) et V (Y ).
c) Montrer que n + 1 - X suit la même loi que Y . Calculer E(X) et V (X).
d) Calculer E(X(Y - 2)) et Cov(X,Y ).
a) Déterminer la loi de Xk et la fonction de répartition F associée à Xk.
b) On note Zn la valeur maximale obtenue au bout de n lancers. Déterminer la fonction de répartition Fn de Zn en fonction de F .
c) Déterminer la limite de (Fn) lorsque n tend vers l’infini. La convergence est-elle uniforme ?
d) On note Y n la valeur minimale obtenue au bout de n lancers. Déterminer sa fonction de répartition.

a) Soient s, n N. Calculer P(S = s∣N = n) et P(S = s et N = n). En déduire la loi de
S.
b) Donner la loi de N - S sans calcul.
c) Les variables S et N - S sont-elles indépendantes ?
d) Même question pour S et N.
a) Calculer P(Y = 0). Soit n N. Montrer que P(X1 - X2 = n) =
. En déduire la loi de
Y .
b) Montrer que Y admet une espérance et la calculer.
c) Montrer que E(X1 - X2)2
= 2V (X1). En déduire que Y admet une variance et la
calculer.





a) Les variables aléatoires Y n sont-elles mutuellement indépendantes ?
b) Calculer l’espérance et la variance de Mn.
c) Énoncer la loi faible des grands nombres. Peut-on l’appliquer ici ?










a) Donner la loi, l’espérance et la variance de Xi.
b) Que vaut X1 + + Xn ? En déduire E(XiXj) et Cov(Xi,Xj) pour i≠j. Donner
l’expression du coefficient de corrélation linéaire de Xi et Xj.
c) Soit βi la variable aléatoire indicatrice de l’événement : ≪ le fournisseur i n’a pas de client ≫. Exprimer Y en fonction des βi. Déterminer E(Y ).
d) Calculer Cov (βi,βj).
e) Déterminer la variance de Y .


b) Écrire une fonction jours(j,m,a) qui comptabilise le nombre de jours écoulés entre le 1er janvier de l’année a et la date j/m/a saisie en argument.
b) Écrire une fonction nombreDeJours(j,m,a) qui renvoie le nombre de jours écoulés entre le 1er janvier 1970 et la date j/m/a.
d) Les horloges internes des ordinateurs étaient autrefois codées sur 32 bits, soit un décompte de 232 - 1 secondes au maximum. Les horloges sont initialisées au 1er janvier 1970. quelle date un bug se produira-t-il ?
b) crire une fonction somme qui à tout entier naturel associe la somme de ses chiffres.
c) Un nombre est dit adéquat si la somme de ses chiffres est un multiple de 10. Écrire une fonction test qui renvoie le booléen True si le nombre est adéquat, et False sinon.
d) Écrire une fonction modification(n) qui change le chiffre des unités de n pour qu’il soit adéquat. Si n est déjà adéquat, la fonction le renvoie sans modification.
e) Tester la fonction pour dix entiers choisis au hasard entre 10000 et 100000 grâce à la fonction randint.
b) crire une fonction qui prend en arguments p, q et un entier n et qui renvoie une liste contenant les n premières décimales de p⁄q.
c) La partie décimale de certains nombres est périodique à partir d’un certain rang (par exemple 12,72123123123...). crire une fonction d’arguments p et q, qui renvoie la partie périodique de p⁄q.
d) Soit e un nombre décimal dont la partie décimale est périodique à partir d’un certain rang. crire une fonction qui renvoie deux entiers p et q premiers entre eux tels que p⁄q = e.
>> from numpy.random import rand
>> LR = rand(6)
>> LR<0.5
>> 1*(LR<0.5)
b) Créer une fonction tirer qui prend en argument un entier n et renvoie une liste de n tirages successifs indépendants suivant la loi de Bernoulli de paramètre 1⁄2.
c) Calculer numériquement l’espérance du nombre de tirages ayant donné un 1.
d) Créer une fonction qui prend en argument une liste seq de 0 et de 1 et renvoie le temps d’apparition de la séquence seq, c’est-à-dire le nombre de tirages à faire pour trouver cette séquence dans la liste des tirages. Par exemple, pour la séquence [1,0,1,1] dans la liste [0,0,1,0,0,1,0,1,1], la fonction renvoie 8.
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